WILLIAM TYLER, c’est le cocktail jeunesse, guitare, travail et Amérique. Oui parce que derrière “ses airs” de surdoué il y a des heures de travail à enfiler des gammes en trainant autour du Grand Ole Opry. Venant de Nashville, WILLIAM est le type même abordable, sympa, qui n’hésite pas à envoyer des fleurs aux autres quand ça lui plait, cf les NORTHs qu’il félicitera et dont il empruntera l’acoustique pour 2 morceaux. Son dernier album “behold the spirit” est un vrai bonheur pour qui aime une musique vraiment très travaillé, presque mathématique qui sonne Fender à 200{10bfd2dac12c371e1ee211763f887d0bd22a0a3a83754ac004743943ddef435e}. Avec des accordages un peu torturés, la mélodie de TYLER est parfois bancale, radieuse, hypnotique, ricaine, mais finalement franchement bonne.
C’est simple, alors que nous prenions une bière pendant la pause, TYLER monte sur scène, commence à jouer brutalement et cloue tout le monde sur place par le sublime de son jeu. Chapeau bas mec !!
Nashville , ville de l’industrie de la musique, de Johnny Cash, nous livre donc un bijou encore mal taillé mais resplendissant. C’est simple, alors que nous prenions une bière pendant la pause, TYLER monte sur scène, commence à jouer brutalement et cloue tout le monde sur place par le sublime de son jeu. Chapeau bas mec !!
De “Behold the spirit” , je retiens “The green pastures” et “tears and saints”, fantastiques. Le reste viendra ou ne viendra pas avec le temps, on verra.
Qui a dit que la country sonnait comme de la merde après ça !!??
Le SUD a perdu la guerre mais ses artistes sont intacts et foutèrent une sacré pâtée aux Yankees ce soir là au Sonic.